31 janvier 2007
ma posture chérie du moment_fente
Standing Backward Bend
I am free! I am free!
C'est aussi un morceau du "grand oiseau déplie ses ailes", en qigong et excellent pour le méridient rate pancréas.
30 janvier 2007
Exercice du Dr Hanish_7
Nous savons que chaque matin, il est indispensable d’aérer le corps, de le lotionner et frictionner, après l’avoir préalablement longuement étiré jusqu’au possible, une partie après l’autre. On soupçonne difficilement les bienfaits de cette pratique de l’extension musculaire maximum, avant d’en avoir usé. Ce septième exercice demande à être exécuté le matin à jeûn, et, ne sera pas répété dans les 24 heures.
Prendre une cuvette assez large pour permettre de poser à plat dans le fond, les deux mains ouvertes; y mettre une quantité d’eau froide ne montant pas au-delà de l’os faisant saillie, qui marque l’articulation du poignet. Au centre de la cuvette, entre les deux mains ne se touchant pas tout à fait, placer une piécette de cuivre. Se tenir le visage penché sur la cuvette en gardant les jambes bien droites, et en ne pliant qu’à l’articulation des hanches, de façon à ce que la colonne vertébrale ne soit pas pliée, mais reste bien droite, sans aucune courbure ni à la nuque ni dans le dos. Inhaler alors par les narines, un souffle plein, aussi profond que possible, sans effort ; quand les poumons sont bien remplis, tous les muscles du visage bien détendus et langue souple et à plat dans la bouche, allonger les lèvres comme pour siffler - on peut d’ailleurs siffler si l’on veut - pour exhaler le souffle pris, le plus longuement et complètement possible, jusqu’à vider au mieux les poumons, sans effort. Reprendre à nouveau un souffle profond, sans changer la position, exhaler comme dit, et recommencer ainsi plusieurs fois de suite, en suivant toujours mentalement très attentivement les courants du souffle, les yeux tranquillement attachés sur la piecette de métal qui est entre les deux mains, au fond de l’eau.
On peut, après avoir terminé cet exercice - qui comme tous autres n’excédera pas trois minutes, qui suffisent amplement pour qu’il donne des résultats inappréciables - prendre un peu d’eau dans le creux de la main et l’aspirer doucement par les narines ; on la rejettera par les narines ou par la bouche ; l’eau chaude ou tiède convient mieux que la froide. Il est bon d’ajouter un peu de sel, qui tonifie les muqueuses et voies nasales. Apres avoir séché les mains, frictionner la paume et le dos de la main gauche avec la main droite, par un mouvement circulaire, dirigé vers le corps. Faire de même pour la main droite, jusqu’à sentir l’épiderme parfaitement sec et doux.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
Prendre une cuvette assez large pour permettre de poser à plat dans le fond, les deux mains ouvertes; y mettre une quantité d’eau froide ne montant pas au-delà de l’os faisant saillie, qui marque l’articulation du poignet. Au centre de la cuvette, entre les deux mains ne se touchant pas tout à fait, placer une piécette de cuivre. Se tenir le visage penché sur la cuvette en gardant les jambes bien droites, et en ne pliant qu’à l’articulation des hanches, de façon à ce que la colonne vertébrale ne soit pas pliée, mais reste bien droite, sans aucune courbure ni à la nuque ni dans le dos. Inhaler alors par les narines, un souffle plein, aussi profond que possible, sans effort ; quand les poumons sont bien remplis, tous les muscles du visage bien détendus et langue souple et à plat dans la bouche, allonger les lèvres comme pour siffler - on peut d’ailleurs siffler si l’on veut - pour exhaler le souffle pris, le plus longuement et complètement possible, jusqu’à vider au mieux les poumons, sans effort. Reprendre à nouveau un souffle profond, sans changer la position, exhaler comme dit, et recommencer ainsi plusieurs fois de suite, en suivant toujours mentalement très attentivement les courants du souffle, les yeux tranquillement attachés sur la piecette de métal qui est entre les deux mains, au fond de l’eau.
On peut, après avoir terminé cet exercice - qui comme tous autres n’excédera pas trois minutes, qui suffisent amplement pour qu’il donne des résultats inappréciables - prendre un peu d’eau dans le creux de la main et l’aspirer doucement par les narines ; on la rejettera par les narines ou par la bouche ; l’eau chaude ou tiède convient mieux que la froide. Il est bon d’ajouter un peu de sel, qui tonifie les muqueuses et voies nasales. Apres avoir séché les mains, frictionner la paume et le dos de la main gauche avec la main droite, par un mouvement circulaire, dirigé vers le corps. Faire de même pour la main droite, jusqu’à sentir l’épiderme parfaitement sec et doux.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
29 janvier 2007
Exercice du Dr Hanish_6
Voici maintenant un exercice qui s’effectue dans la position agenouillée.
S’agenouiller à cinquante centimètres environ derrière une chaise, en pliant les deux genoux à la fois, puis, prendre dans chaque main, un des montant du dossier de la chaise. La colonne vertébrale doit être parfaitement droite, les épaules bien en place, de façon à donner aux poumons toute l’amplitude de leur jeu. Faire alors les respirations préliminaires dans un état de complète détente et attention ; les mains doivent être maintenues bien souples, et prêtes à donner l’appui et les services attendus d’elles au cours de l’exercice.
Lorsqu’on se sent prêt, c’est-à-dire souple, dégagé, ayant nettoyé à fond les poumons, et la pensée bien dirigée sur l’exécution : inhaler régulièrement et profondément, sans effort, pendant sept secondes, en serrant graduellement et toujours plus fermement les barreaux de la chaise, qu’on tient à pleines mains, et bras complètement tendus. Lorsque l’inspiration de sept secondes a rempli les poumons, et que le « serrage » est, en même temps, arrivé à son comble, garder, tenir le souffle pendant quatre secondes, pendant lesquelles la « prise » sera maintenue bien ferme. Expirer alors doucement et à fond pendant sept secondes, en desserrant peu à peu l’étreinte des mains; arrêter le souffle en laissant les mains au dossier de la chaise, mais pendant ce repos, bras et mains doivent être complètement détendus. Reprendre une inhalation de sept secondes en serrant à nouveau les montants, à bloc, tenir le souffle quatre secondes, expirer en se détendant pendant sept secondes; observer arrêt du souffle de quatre secondes, en repos des bras et mains; et recommencer à nouveau, une troisième fois le cycle complet.
On répète, au maximum, neuf fois cet exercice, ce qui demande une durée d’environ trois minutes, qu’en aucun cas on ne doit excéder. On peut, après l’avoir fait plusieurs jours de suite une seule fois, le répéter trois fois dans la journée.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
S’agenouiller à cinquante centimètres environ derrière une chaise, en pliant les deux genoux à la fois, puis, prendre dans chaque main, un des montant du dossier de la chaise. La colonne vertébrale doit être parfaitement droite, les épaules bien en place, de façon à donner aux poumons toute l’amplitude de leur jeu. Faire alors les respirations préliminaires dans un état de complète détente et attention ; les mains doivent être maintenues bien souples, et prêtes à donner l’appui et les services attendus d’elles au cours de l’exercice.
Lorsqu’on se sent prêt, c’est-à-dire souple, dégagé, ayant nettoyé à fond les poumons, et la pensée bien dirigée sur l’exécution : inhaler régulièrement et profondément, sans effort, pendant sept secondes, en serrant graduellement et toujours plus fermement les barreaux de la chaise, qu’on tient à pleines mains, et bras complètement tendus. Lorsque l’inspiration de sept secondes a rempli les poumons, et que le « serrage » est, en même temps, arrivé à son comble, garder, tenir le souffle pendant quatre secondes, pendant lesquelles la « prise » sera maintenue bien ferme. Expirer alors doucement et à fond pendant sept secondes, en desserrant peu à peu l’étreinte des mains; arrêter le souffle en laissant les mains au dossier de la chaise, mais pendant ce repos, bras et mains doivent être complètement détendus. Reprendre une inhalation de sept secondes en serrant à nouveau les montants, à bloc, tenir le souffle quatre secondes, expirer en se détendant pendant sept secondes; observer arrêt du souffle de quatre secondes, en repos des bras et mains; et recommencer à nouveau, une troisième fois le cycle complet.
On répète, au maximum, neuf fois cet exercice, ce qui demande une durée d’environ trois minutes, qu’en aucun cas on ne doit excéder. On peut, après l’avoir fait plusieurs jours de suite une seule fois, le répéter trois fois dans la journée.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
28 janvier 2007
Exercice du Dr Hanish_5
Se tenir debout, attitude droite, complètement détendue et souple, muscles du visage, épaules, genoux, articulations en général, bien passés en revue et tenus en place et à l’aise; le poids du corps doit être réparti bien également, et supporté par la plante des pieds, et non par les talons. Le, regard fixe sans raideur sur un point choisi, après avoir procédé aux respirations préliminaires, étendre les bras parallèlement, en avant, à hauteur des épaules, comme en un geste ferme marquant par l’attitude une volonté bien nette « qu’il en soit ainsi » ! Les muscles des bras ainsi tendus en avant, ne doivent être crispés sous aucun prétexte, les mains restent absolument souples et pendantes. La volonté de ferme maintien qui tend les bras, s’arrête aux poignets. Pendant l’élévation, on respire lentement et régulièrement pendant 7 secondes (ou moins, à condition de rythmer toujours bien regulierement selon le nombre de secondes choisi) ; au bout de ces 7 secondes, les bras se sont graduellement tendus à fond, bien que sans effort, et les mains restent détendues et inertes ; rester ainsi, après l’inhalation, pendant la tenue du souffle de 4 secondes, et exhaler pendant sept secondes en détendant complètement tous les muscles des bras; puis quatre secondes d’arrêt du souffle, et recommencer.
On répète cela trois fois de suite dans cette position. Lorsque le troisième cycle est ainsi complètement terminé par un arrêt du souffle, on inhale à nouveau pendant sept secondes, mais en écartant les bras à droite et à gauche, en les maintenant toujours à niveau de l’épaule et en les poussant légèrement en arrière, de façon à donner la plus large expansion possible à la cage thoracique; les bras se trouvent alors latéralement étendus (formant la croix). Ce changement de position des bras (de parallele, à latérale) s’effectue pendant les sept secondes d’inspiration, les muscles des bras, au bout de ces sept secondes, sont tendus comme dans la première partie de l’exercice, et les mains toujours absolument libres et souples ; tenir le souffle pendant quatre secondes en maintenant la tension contrôlée, exclusivement dans les bras, et expirer pendant sept secondes en rendant complète détente et souplesse aux bras ; arrêt du souffle pendant quatre secondes, et inhaler à nouveau sept secondes, etc.
Faire trois fois le cycle complet, et à la septième inhalation, ramener les bras en avant pour reprendre la position initiale (bras parallèlement étendus en avant), mais, au lieu de laisser pendre les mains dans l’articulation du poignet, les maintenir dans la ligne de prolongement du bras, et diriger les extrémités digitales des deux mains les unes vers les autres. Il ne faudra point les faire entrer en contact, mais bien les maintenir à toute petite distance ; on reste ainsi avec les doigts souples, opposés par les pointes non jointes, pendant la tenue du souffle, puis on expire pendant sept secondes en détendant complètement les bras, et on les laisse retomber de tout leur poids, le long du corps.
Il est bon de faire cet exercice avec beaucoup d’attention, et sans jamais en exagérer la répétition ; le faire au début une fois par jour suffit, et jamais plus de trois minutes consécutives. Ne pas excéder le nombre de 7 secondes d’inhalation et d’expiration, et même, commencer par un nombre de secondes, moindre.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
27 janvier 2007
Exercice du Dr Hanish_4
Debout, détente parfaite, tenue absolument droite, attention complète. Pratiquer les respirations préliminaires, et lorsque les poumons sont complètement vidés, inhaler doucement et progressivement pendant 7 secondes (moins au début, si cela coûte le moindre effort) ; ensuite, faire tourner en expirant pendant 7 secondes, en un large moulinet passant devant la face, le bras droit bien étendu, dans l’articulation de l’épaule, sans raideur ni tension; la paume de la main ouverte est tournée vers le corps. Ce moulinet rythme sur les 7 secondes de l’inspiration se fait donc parallèlement au visage (7 tours). Exécuter ce mouvement giratoire bien régulièrement : Etendre horizontalement, à droite, le bras droit et le faire passer, en tournant à gauche, sans le plier, devant le visage, et le ramener à droite par un cercle complet pendant l’expiration. Pour la deuxième partie de l’exercice : refaire exactement sans s’interrompre, juste de suite après les 7 premiers tours, ces mêmes larges moulinets (7 tours), en inspirant pendant 7 secondes ; arrêter au moment où la main sera haute (au-dessus de la tête), le bras levé verticalement, retenir le souffle, se pencher en avant par une rapide flexion du buste dans l’articulation des hanches, sans plier les genoux, et frapper le sol en avant, avec la main, qu’on aura fermée pour faire le poing. Sans plier le bras, se redresser et expirer, laisser alors retomber naturellement le bras le long du corps. Recommencer ainsi exactement de même avec le bras gauche. Le bras qui n’opère pas, reste librement pendant le long du corps.
Ne jamais faire de cet exercice, non plus que des autres, plus de trois minutes à la fois. On pratiquera cet exercice au moins deux fois par jour, mais il peut être, sans inconvénient fait quatre fois. Le matin on se tournera, pour l’exécution de cet exercice qui se fait debout, vers l’Orient ; à midi vers le Sud ; le soir vers l’Ouest, et le soir avant le coucher, vers le Nord.
Cet exercice aidera grandement chacun à poursuivre son affranchissement de toutes fausses et dégradantes habitudes prises, dans le domaine alimentaire, entre autres.
Cet exercice aidera grandement chacun à poursuivre son affranchissement de toutes fausses et dégradantes habitudes prises, dans le domaine alimentaire, entre autres.
_Résumé
Aspirer en se tenant debout, droit et souple, les bras le long du corps ; lorsque les poumons sont remplis, commencer immédiatement les moulinets pendant 7 secondes en expirant, aspirer de suite, pendant 7 secondes, en continuant ces mêmes moulinets bien rythmés ; arrêter lorsque le bras est en haut, retenir le souffle pendant la rapide flexion en avant pour frapper le sol du poing (en avant des pointes de pieds) ; expirer lorsqu’on a repris la position de départ.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
26 janvier 2007
Exercice du Dr Hanish_3
En position assise (voir exercice préliminaire), la langue maintenue souple dans l’écrin des mâchoires, sur une chaise ou un tabouret dont la hauteur permette que l’équerre formé par cuisse et jambe soit absolument exacte ; le pied doit reposer bien à plat sur le sol et le genou ne doit être ni soulevé ni baissé.
Lorsque la bonne position est prise, faire les respirations préliminaires : quatre ou cinq inspirations, expirations, consécutives, rapidement effectuées, puis vider à fond les poumons par la dernière expiration, aussi prolongée que possible sans effort.
Pour cet exercice, le point de fixation sera posé, non sur la muraille, comme pour les précédents exercices, mais à terre, à une distance de trente centimètres environ de la pointe des pieds.
Assis, et les yeux tranquillement fixés sur le point de concentration, les jambes à l’équerre, les pieds formant le V, comme pour le premier exercice, les mains, posées à plat sur les cuisses - pouce en dedans, doigts à l’extérieur - restent souples et ne doivent jamais servir d’appui. Le regard ne quittera pas le point de concentration, seule, la colonne vertébrale devra toujours rester droite et ferme, car c’est elle qui conduira l’exercice, et toute coudure ou voussure, empêcherait le bon résultat de l’exercice d’être ressenti. La ligne de la nuque ne devra pas changer, c’est-à-dire qu’elle devra rester toujours droite et quand on se relève, ne pas s’aider des bras ou des mains.
Assis, mains posées sur les cuisses, les yeux ne quittant pas le point de concentration, aspirer pendant 7 secondes, tout en penchant graduellement le buste, maintenu droit par la colonne vertébrale, jusqu’à parvenir à le faire reposer sur les cuisses ; rester ainsi 4 secondes en tenant les poumons pleins d’air, puis remonter le torse jusqu’à se retrouver dans la position de départ, en expirant graduellement, pendant 7 secondes que prendra la montée.
On répétera cet exercice pendant 3 minutes au maximum et jamais plus de deux ou trois fois par jour, lorsqu’on est parvenu à l’accomplir aisément, sans aucune difficulté.
_Une variante d’exécution de cet exercice, à pratiquer seulement lorsqu’on a déjà acquis la parfaite maîtrise de la première forme donnée :
en inspirant, et pendant qu’on incline le buste, au lieu de fixer le point de mire déposé sur le sol, poser le regard sur la pointe du nez, l’y maintenir encore pendant les secondes de tenue du souffle ; et, pendant le mouvement de redressement du buste, et l’expiration de 7 secondes, faire remonter le regard graduellement de la pointe du nez à la racine, le maintenir la pendant les secondes d’arrêt du souffle, et recommencer la descente du buste en inspirant, le regard glissant de la racine du nez à la pointe ; le tenir à nouveau fixé sur cette pointe, remonter le buste en expirant, le regard remontant le long de l’arête du nez et se fixant à la racine, ainsi de suite jusqu’à la fin des mouvements. Cela fortifie les nerfs moteurs et oculaires, et aide également beaucoup à l’obtention de la stabilité du regard, ce qui contribue à amener un rapide developpement de la faculté de concentration.
Le but de cet exercice est de favoriser le développement de la faculté de concentration. Physiologiquement, cet exercice apporte d’heureuses modifications dans le fonctionnement organique et contribue à amener des proportions correctes dans la forme corporelle.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
Lorsque la bonne position est prise, faire les respirations préliminaires : quatre ou cinq inspirations, expirations, consécutives, rapidement effectuées, puis vider à fond les poumons par la dernière expiration, aussi prolongée que possible sans effort.
Pour cet exercice, le point de fixation sera posé, non sur la muraille, comme pour les précédents exercices, mais à terre, à une distance de trente centimètres environ de la pointe des pieds.
Assis, et les yeux tranquillement fixés sur le point de concentration, les jambes à l’équerre, les pieds formant le V, comme pour le premier exercice, les mains, posées à plat sur les cuisses - pouce en dedans, doigts à l’extérieur - restent souples et ne doivent jamais servir d’appui. Le regard ne quittera pas le point de concentration, seule, la colonne vertébrale devra toujours rester droite et ferme, car c’est elle qui conduira l’exercice, et toute coudure ou voussure, empêcherait le bon résultat de l’exercice d’être ressenti. La ligne de la nuque ne devra pas changer, c’est-à-dire qu’elle devra rester toujours droite et quand on se relève, ne pas s’aider des bras ou des mains.
Assis, mains posées sur les cuisses, les yeux ne quittant pas le point de concentration, aspirer pendant 7 secondes, tout en penchant graduellement le buste, maintenu droit par la colonne vertébrale, jusqu’à parvenir à le faire reposer sur les cuisses ; rester ainsi 4 secondes en tenant les poumons pleins d’air, puis remonter le torse jusqu’à se retrouver dans la position de départ, en expirant graduellement, pendant 7 secondes que prendra la montée.
On répétera cet exercice pendant 3 minutes au maximum et jamais plus de deux ou trois fois par jour, lorsqu’on est parvenu à l’accomplir aisément, sans aucune difficulté.
_Une variante d’exécution de cet exercice, à pratiquer seulement lorsqu’on a déjà acquis la parfaite maîtrise de la première forme donnée :
en inspirant, et pendant qu’on incline le buste, au lieu de fixer le point de mire déposé sur le sol, poser le regard sur la pointe du nez, l’y maintenir encore pendant les secondes de tenue du souffle ; et, pendant le mouvement de redressement du buste, et l’expiration de 7 secondes, faire remonter le regard graduellement de la pointe du nez à la racine, le maintenir la pendant les secondes d’arrêt du souffle, et recommencer la descente du buste en inspirant, le regard glissant de la racine du nez à la pointe ; le tenir à nouveau fixé sur cette pointe, remonter le buste en expirant, le regard remontant le long de l’arête du nez et se fixant à la racine, ainsi de suite jusqu’à la fin des mouvements. Cela fortifie les nerfs moteurs et oculaires, et aide également beaucoup à l’obtention de la stabilité du regard, ce qui contribue à amener un rapide developpement de la faculté de concentration.
Le but de cet exercice est de favoriser le développement de la faculté de concentration. Physiologiquement, cet exercice apporte d’heureuses modifications dans le fonctionnement organique et contribue à amener des proportions correctes dans la forme corporelle.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
25 janvier 2007
Exercice du Dr Hanish_2
_position debout
Se tenir debout, colonne vertébrale, nuque bien droites, reins dé-cambrés, épaules tombant naturellement, bien en place, les bras le long du corps ; la tête droite, le visage empreint d’une expression de calme ; tous muscles détendus, dents ne se touchant pas, langue souple, genoux non raidis. Il faut que le poids du corps repose sur la plante des pieds, et non sur les talons.
_le deuxième exercice
L’exercice consiste à inspirer pendant sept secondes, en fermant les poings et les serrant graduellement toujours plus fort, et à s’élever en même temps, progressivement, sur la pointe des pieds. Le pouce rabattu sur les phalanges des doigts, les poumons remplis d’air, on reste deux, trois (pour les débutants), ou quatre secondes,dans cet état ; puis on redescend lentement en expirant pendant sept secondes, pour se retrouver poings relâchés, plantes des pieds posées sur le sol, poumons vidés; on reste les poumons vides pendant quatre secondes. Recommencer pendant deux minutes au début, ou trois, jamais davantage, et jamais plus de deux fois par jour.
Il est essentiel que cet exercice, pour donner de bons résultats, soit fait doucement, qu'inspiration, « serrage » du poing, et « levée » des pieds sur la pointe, s’effectuent en même temps, sur le rythme régulier de l’inhalation; qu’il n’y ait pas de saccades, ni pendant l’inspiration, ni pendant l’expiration ; que les temps de tenue du souffle, et d’arrêt du souffle, soient observés, que pour forcer le serrage des poings, la force s’exerce par volonté dans ces seuls poings, et non dans les bras, les épaules, qui doivent rester complètement souples ; que jamais les mâchoires ne doivent se serrer pour participer ; et qu’à la descente, on repose tout doucement les pieds bien à plat, en gardant le poids du corps sur les plantes, que les talons doivent juste toucher le sol, mais non s’appuyer.
_deuxième exercice, variante en marche
Ce deuxième exercice peut également, par une variante agréable, s’exécuter en marche. Partant d’une démarche souple et légère, rythmer l’inspiration du souffle sur 3, 4, 5, 6, 7 pas (on y parvient peu à peu), faire 1, 2, 3, 4 pas (ne jamais faire beaucoup au début), en gardant les poumons remplis ; puis expirer en faisant de 1 à 7 pas, selon possibilités, et en faire 1, 2, 3, 4 sans reprendre de souffle ; puis, aspirer à nouveau.
Se tenir debout, colonne vertébrale, nuque bien droites, reins dé-cambrés, épaules tombant naturellement, bien en place, les bras le long du corps ; la tête droite, le visage empreint d’une expression de calme ; tous muscles détendus, dents ne se touchant pas, langue souple, genoux non raidis. Il faut que le poids du corps repose sur la plante des pieds, et non sur les talons.
_le deuxième exercice
L’exercice consiste à inspirer pendant sept secondes, en fermant les poings et les serrant graduellement toujours plus fort, et à s’élever en même temps, progressivement, sur la pointe des pieds. Le pouce rabattu sur les phalanges des doigts, les poumons remplis d’air, on reste deux, trois (pour les débutants), ou quatre secondes,dans cet état ; puis on redescend lentement en expirant pendant sept secondes, pour se retrouver poings relâchés, plantes des pieds posées sur le sol, poumons vidés; on reste les poumons vides pendant quatre secondes. Recommencer pendant deux minutes au début, ou trois, jamais davantage, et jamais plus de deux fois par jour.
Il est essentiel que cet exercice, pour donner de bons résultats, soit fait doucement, qu'inspiration, « serrage » du poing, et « levée » des pieds sur la pointe, s’effectuent en même temps, sur le rythme régulier de l’inhalation; qu’il n’y ait pas de saccades, ni pendant l’inspiration, ni pendant l’expiration ; que les temps de tenue du souffle, et d’arrêt du souffle, soient observés, que pour forcer le serrage des poings, la force s’exerce par volonté dans ces seuls poings, et non dans les bras, les épaules, qui doivent rester complètement souples ; que jamais les mâchoires ne doivent se serrer pour participer ; et qu’à la descente, on repose tout doucement les pieds bien à plat, en gardant le poids du corps sur les plantes, que les talons doivent juste toucher le sol, mais non s’appuyer.
_deuxième exercice, variante en marche
Ce deuxième exercice peut également, par une variante agréable, s’exécuter en marche. Partant d’une démarche souple et légère, rythmer l’inspiration du souffle sur 3, 4, 5, 6, 7 pas (on y parvient peu à peu), faire 1, 2, 3, 4 pas (ne jamais faire beaucoup au début), en gardant les poumons remplis ; puis expirer en faisant de 1 à 7 pas, selon possibilités, et en faire 1, 2, 3, 4 sans reprendre de souffle ; puis, aspirer à nouveau.
24 janvier 2007
Exercice du Dr Hanish_1
Prendre la position assisse décrite pour l’exercice Préliminaire.
Parfaitement droit, souple et détendu, commencer par une longue expiration, non exagérément forcée, mais cependant complète, puis inhaler profondément, régulièrement, progressivement, un long souffle, en comptant mentalement 7 secondes, ou encore en scandant sur 7 pulsations du cœur. Garder le regard paisiblement attaché sur le point de concentration choisi et suivre mentalement les courants de l’inspiration dans le cours de leur pénétration : dans les narines, la trachée-artère, dans les poumons, jusqu’à l’extrémité ou base, et aux sommets ; garder le souffle, avant d’expirer, pendant trois ou quatre secondes ; puis, expirer posément, pendant également 7 secondes, en suivant et contrôlant le débit pulmonaire, afin qu’il soit bien complet et régulier, et qu’il n’y ait aucune crispation ou précipitation. Lorsque l’expiration à parfaitement vidé les poumons de l’air y contenu, rester les poumons « à vide » pendant 4 secondes, avant de reprendre une inhalation de 7 secondes...
Les débutants feront bien, si ce rythme de 7 et 4 secondes leur semble un peu difficile à tenir, de l’écourter, pour leurs premiers jours d’exercice.
Cet exercice peut être exécuté 3 fois par jour : 3 minutes le matin, 3 minutes à midi, 3 minutes le soir, avant le coucher du soleil, si possible.
Premier exercice_Résumé
Assis, détendu, le regard posé, l’attention entière attachée à l’exercice ; les mains posées sans jamais les appuyer ; surveiller tout le temps souplesse et attitude. Expirer longuement pour débuter, puis inspirer pendant 7 secondes. Tenir le souffle dans les poumons pendant 4 secondes sans mouvement. Puis, expirer lentement, bien à fond, pendant 7 secondes. Rester alors 4 secondes « à vide » avant d’aspirer à nouveau.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
Parfaitement droit, souple et détendu, commencer par une longue expiration, non exagérément forcée, mais cependant complète, puis inhaler profondément, régulièrement, progressivement, un long souffle, en comptant mentalement 7 secondes, ou encore en scandant sur 7 pulsations du cœur. Garder le regard paisiblement attaché sur le point de concentration choisi et suivre mentalement les courants de l’inspiration dans le cours de leur pénétration : dans les narines, la trachée-artère, dans les poumons, jusqu’à l’extrémité ou base, et aux sommets ; garder le souffle, avant d’expirer, pendant trois ou quatre secondes ; puis, expirer posément, pendant également 7 secondes, en suivant et contrôlant le débit pulmonaire, afin qu’il soit bien complet et régulier, et qu’il n’y ait aucune crispation ou précipitation. Lorsque l’expiration à parfaitement vidé les poumons de l’air y contenu, rester les poumons « à vide » pendant 4 secondes, avant de reprendre une inhalation de 7 secondes...
Les débutants feront bien, si ce rythme de 7 et 4 secondes leur semble un peu difficile à tenir, de l’écourter, pour leurs premiers jours d’exercice.
Cet exercice peut être exécuté 3 fois par jour : 3 minutes le matin, 3 minutes à midi, 3 minutes le soir, avant le coucher du soleil, si possible.
Premier exercice_Résumé
Assis, détendu, le regard posé, l’attention entière attachée à l’exercice ; les mains posées sans jamais les appuyer ; surveiller tout le temps souplesse et attitude. Expirer longuement pour débuter, puis inspirer pendant 7 secondes. Tenir le souffle dans les poumons pendant 4 secondes sans mouvement. Puis, expirer lentement, bien à fond, pendant 7 secondes. Rester alors 4 secondes « à vide » avant d’aspirer à nouveau.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
23 janvier 2007
Exercice du Dr Hanish_préliminaire
_Position assise (description)
Assis sur une chaise, les pieds doivent poser entièrement à plat sur le plancher; le séant doit être bien en place sur le siège choisi, non sur le bord, mais jusqu’au fond, en observant que le dos ni les épaules ne doivent toucher le dossier. Les épaules et les bras doivent tomber naturellement. Les mains sont posées sur les cuisses, les coudes au corps, les doigts formeront un V, le pouce étant posé à l’intérieur des cuisses, les quatre doigts à l’extérieur. Les pieds ne se touchent pas, ils forment également un V, les pointes des orteils étant à quinze ou vingt centimètres l’une de l’autre, les talons à cinq ou dix centimètres environ.
Les lèvres restent closes, les dents ne se touchant pas, la langue souple, la pointe légèrement relevée s’appliquant naturellement contre les incisives inférieures. Le menton ne doit pas être projeté en avant, mais maintenu plutôt légèrement rentré.
Ainsi, tenant souplement, avec détente, aisance, cette attitude consciente, royale, on est en possession de soi, de son attention, de son contrôle. On ne permet à aucun bruit, objet, idée, de s’interposer entre le but bien déterminé qu’on se propose, et la pensée qui a décidé de l’atteindre. Il faut observer de conserver durant tout l’exercice une complète aisance et de ne se laisser gagner par aucune raideur ou préoccupation.
Il est utile de toujours tourner le dos à la lumière, à la source lumineuse de la pièce, cela facilite la concentration et supprime des causes de tiraillement visuel. Il est également utile, afin de permettre de centrer le regard sur un unique point, de placer sur la paroi qu’on a devant soi, un rond noir placé à hauteur des yeux, à deux mètres environ devant soi, sur lequel on attache le regard durant l’exécution de tous les exercices rythmiques.
_exercice préliminaire
Ainsi, bien installé, aussi commodément que possible, inspirer et expirer, cinq ou six fois de suite rapidement, comme en une sorte de halètement, puis terminer par une expiration, aussi approfondie que possible, aisément.
Pendant qu’on « pousse » volontairement cette dernière expiration qu’on prolonge à dessein, il faut passer en revue tout le corps pour déloger toutes raideurs et crispations qui interceptent tous libres courants, aussi bien organiques que mentaux.
On peut ainsi par exemple porter l’attention d'abord sur le pied droit et commander, au passage, détente et souplesse; remonter le long du corps, détendre jambe, genou, cuisse, torse, cou, nuque, machoire, langue, muscles du visage et cerveau ; poursuivre l’examen en descendant le long du corps, du coté gauche, pour aboutir au pied gauche.
Lorsque parfaitement détendu, à l’aise et concentré, on se sent paisible et satisfait, on procède alors à l’exercice rythmique, dans les meilleures et plus favorables conditions.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
Assis sur une chaise, les pieds doivent poser entièrement à plat sur le plancher; le séant doit être bien en place sur le siège choisi, non sur le bord, mais jusqu’au fond, en observant que le dos ni les épaules ne doivent toucher le dossier. Les épaules et les bras doivent tomber naturellement. Les mains sont posées sur les cuisses, les coudes au corps, les doigts formeront un V, le pouce étant posé à l’intérieur des cuisses, les quatre doigts à l’extérieur. Les pieds ne se touchent pas, ils forment également un V, les pointes des orteils étant à quinze ou vingt centimètres l’une de l’autre, les talons à cinq ou dix centimètres environ.
Les lèvres restent closes, les dents ne se touchant pas, la langue souple, la pointe légèrement relevée s’appliquant naturellement contre les incisives inférieures. Le menton ne doit pas être projeté en avant, mais maintenu plutôt légèrement rentré.
Ainsi, tenant souplement, avec détente, aisance, cette attitude consciente, royale, on est en possession de soi, de son attention, de son contrôle. On ne permet à aucun bruit, objet, idée, de s’interposer entre le but bien déterminé qu’on se propose, et la pensée qui a décidé de l’atteindre. Il faut observer de conserver durant tout l’exercice une complète aisance et de ne se laisser gagner par aucune raideur ou préoccupation.
Il est utile de toujours tourner le dos à la lumière, à la source lumineuse de la pièce, cela facilite la concentration et supprime des causes de tiraillement visuel. Il est également utile, afin de permettre de centrer le regard sur un unique point, de placer sur la paroi qu’on a devant soi, un rond noir placé à hauteur des yeux, à deux mètres environ devant soi, sur lequel on attache le regard durant l’exécution de tous les exercices rythmiques.
_exercice préliminaire
Ainsi, bien installé, aussi commodément que possible, inspirer et expirer, cinq ou six fois de suite rapidement, comme en une sorte de halètement, puis terminer par une expiration, aussi approfondie que possible, aisément.
Pendant qu’on « pousse » volontairement cette dernière expiration qu’on prolonge à dessein, il faut passer en revue tout le corps pour déloger toutes raideurs et crispations qui interceptent tous libres courants, aussi bien organiques que mentaux.
On peut ainsi par exemple porter l’attention d'abord sur le pied droit et commander, au passage, détente et souplesse; remonter le long du corps, détendre jambe, genou, cuisse, torse, cou, nuque, machoire, langue, muscles du visage et cerveau ; poursuivre l’examen en descendant le long du corps, du coté gauche, pour aboutir au pied gauche.
Lorsque parfaitement détendu, à l’aise et concentré, on se sent paisible et satisfait, on procède alors à l’exercice rythmique, dans les meilleures et plus favorables conditions.
Dr. O.Z.HANISH in Health and Breath Culture
21 janvier 2007
ma posture chérie du moment_Vajrasana
Firm Pose_Vajrasana_Also called the Thunderbolt Pose.
Pour tenir cette position assise, les cuisses rapprochées, nous devons joindre les gros orteils de façon à former une "cuvette" avec nos pieds dans laquelle nous allons nous asseoir.
Au début, nous sommes plutôt assis sur les talons et avec la pratique, par l'assouplissement de nos chevilles, nous arrivons à former cette cuvette.
Cette posture permet de garder le dos droit, les muscles dorsaux et abdominaux détendus.
In stillness I touch my inner strength.
14 janvier 2007
Le jeûne du coeur
A Hui qui sollicite l'enseignement du maître sur le jeûne du cœur, Confucius répond :
" unifie ton intention. Plutôt que d'écouter avec l'oreille, écoute avec le cœur. Plutôt que d'écouter avec le cœur, écoute avec le Qi. L'ouie s'arrête à l'oreille, le cœur s'arrête à ce qui s'accorde avec lui. Le Qi c'est le Vide qui accueil toute chose. Or seul le Dao accumule le Vide. Ce vide, c'est le jeûne du cœur. "
Zhuangzi, chap.IV, traduit par Anne Cheng, Histoire de la pensée Chinoise, Edition du Seuil, 1997, chap. 4
" unifie ton intention. Plutôt que d'écouter avec l'oreille, écoute avec le cœur. Plutôt que d'écouter avec le cœur, écoute avec le Qi. L'ouie s'arrête à l'oreille, le cœur s'arrête à ce qui s'accorde avec lui. Le Qi c'est le Vide qui accueil toute chose. Or seul le Dao accumule le Vide. Ce vide, c'est le jeûne du cœur. "
Zhuangzi, chap.IV, traduit par Anne Cheng, Histoire de la pensée Chinoise, Edition du Seuil, 1997, chap. 4
05 janvier 2007
01 janvier 2007
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